Recouper avec badruk...spèce de malade!! (même si quand on cherche toute mes histoires ont des points commun...)
Donc j'avais dit j'avais une nouvelle chanson à insérer et donc voici le récit (avec des orks mais juste parce qu'il fallait...)
Rautgar ne se remettait pas de sa blessure subit sur Naelvio, la victoire lui avait couté une semaine à l'apothecarium, et des milliers de vie...Mais seul la victoire importait comme le lui avait rappelé l'inquisiteur.
Aujourd'hui c'en était fini de ce combat face aux hérétiques et son régiment avait été envoyé dans un système voisin, les xenos orks attaquais un monde glacé et c'est le 46ème régiment de ligne Nerovien qui avait été le plus proche. Pour l'occasion ses hommes avait revêtu des tenus spécifiques et cela leur enlevait leur dernier aspect d'individualités, le masque pour se protéger de froid cachait les traits de leur visages, et seul leur nom imprimé sur leur manteau les différenciait les uns des autres.
Si ce n'était pas pour l'empereur qu'il faisait ça le colonel aurait déjà cesser sa carrière mais puisque c'était Sa volonté, qu'il en soit ainsi.
Depuis plusieurs jours les difficultés s'amoncelaient, les xenos en face profitaient de la mauvaise visibilité pour créer des embuscades et contourner les lignes impériales. Il y'a deux jours une compagnie de manticore avait disparue. Malheureusement on n'avait trouvé aucune trace des chars et Rautgar craignait le pire.
Le seigneur commissaire Burken toujours à l'affut de la moindre faute de Rautgar regardait une carte tactique holographique, les pions bleu symbolisant les forces des humains étaient concentrés sur un front étroit et trop peu de pions rouge apparaissaient , ces orks étaient moins stupide que ce qu'on enseignait dans les écoles d'officier. Alors qu'il allait faire remarquer une faille dans le déploiement de la compagnie H, un son strident couvrit même le bruit des chars qui patrouillait dehors. Quelques secondes plus tard une dizaine d'explosion retentirent et le colonel Rautar couru hors de sa tente.
Le camp venait de subir un bombardement de missiles de barrage tiré par les manticores volés quelques jours plus tôt. Le commissaire le suivait de près pour prévenir toute désertion et dégaina son arme de service, prêt à abattre tout fuyard.
Rautgar se demandait comment contre attaquer mais les ordres étaient clair : « pas de mouvement, il faut tenir la position seulement » et avec ce chien de Burken sur le dos il valait mieux ne pas aller contre les ordres.
Rautgar convoqua donc ses capitaines pour faire le point, et leur rappeler les ordres de n'exécuter aucune action sinon de tenir la ligne.
Tous acquiescèrent et au moment où ils se levaient, le capitaine Feikor eu ce trait ironique:
« Ce soir la nuit sera courte mais elle sera chaude à la chaleur des missiles »
Ce à quoi rigolèrent une partie des officiers. Au moins Rautgar pouvait compter sur ses hommes vu qu'il prenait même le temps de plaisanter.
Ressortant de la tente pour pouvoir jauger lui même de la situation il se posa sur un bord de tranchée et regarda au loin avec ses macro-jumelles, tout était calme à vu sauf toujours le sifflement suivit d'explosion, les orks avait appris à se servir des chars et cela était assez effrayant de se dire que c'était bien les chars que lui même avait réclamé qui clouait au sol ses propres troupes.
Feikor dirigeait les hommes prit sous le feu ennemi, les manticores faisait un carnage parmi ses hommes, les abris étaient plein et il était de toute façon obligé de laisser des hommes à l'extérieur en cas d'attaque, ne serait ce que pour avertir.
Regardant dans le lointain comme pour tenter de deviner l'emplacement des chars ils vit des silhouette blanches s'agiter dans la neige. S'essuyant les lunettes et regardant fixement l'une de celle ci il vit bien un ork s'étant peint en blanc! Et son radio arrivait avec des rapport semblable provenant de toute la ligne bombardé. Un combat brutal s'annonçait mais la ruse des peaux vertes avait surpris tout le monde.
Rautgar fixait sa carte tactique lorsqu'il vit une masse d'icône rouge apparaître et les bleus disparaissant tout aussi vite. Cela s'étendait de plus en plus à croire que tous le no man's land avait été infiltré pendant la tempête et même le commissaire avait l'air de s'inquiéter. Appelant son radio le colonel ordonna la retraite.
- Spoiler:
La citation inséré provient du titre "à la chaleur des missiles" du groupe "les sherrif"