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 Pour ma kultur'

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Zulzeg
Snot
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Zulzeg


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MessageSujet: Pour ma kultur'   Pour ma kultur' EmptyMer 19 Nov 2008 - 22:16

Bonsoir à tous, je voudrais savoir si, parmis vous, quelqu'un aurait des informations, des textes ou des récits à propos de Gobbo Le Rouge, qui apparament est( ou était) un grand chef rebel grot.
Je souhaiterais également connaître les personnages spéciaux des anciens codex( à partie du tout 1er) qui n'apparaissent pas dans le nouveau.
Par delà je rajouterais une 3èm question, c'est comment ce passe l'organisation au camp lorsque les orks ne se battent pas (j'exclus par là les infos donner dans le nouveau codex, que je connais déjà) : Qui fais quoi, un ork fait quoi de ses journée, quel est le dégré de violence à l'intérieur du camp, que font les grotz de leur vie, mise à part l'esclavage, ect...
Il semblera peut-être difficile de répondre à une demande d'information si vaste, mais je vous remerçi d'avance pour celles qui paraîtrons.
J'adore les orks, je hais les spaces marines.
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Sélénior
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MessageSujet: Re: Pour ma kultur'   Pour ma kultur' EmptyMer 19 Nov 2008 - 22:43

Tout d'abord, (et je profite du fait que badruk ne soit pas encore passé pour frimer) un excellent site de fluff est Taran.

Ca répond déjà partiellement à la question sur les personnages historiques, tu y peux trouver beaucoup de choses qui touchent aux premières versions.

Désolé, mais je ne sais pas grand chose de Gobbo le Rouge mis à part qu'il dirigeait un truc de révolution grot, suite à une rebéllion dans une ville qui se serait appelée Mekaville (à vérifier)

Pour ta troisième question, Travian est ton ami... je ne peux pas en dire plus, tout ce que je sais est tiré de ce site.


Bon bah je ne sais pas en gros chose, mais j'espère que ces quelques infos ne seront pas totalement inutiles. Après, il y a d'autres membres qui s'y connaissent beaucoup en fluff, ils pourront t'aider plus que moi...


Edit : J'avais oublié de dire que les réponses m'intéressent autant que toi, je vais également suivre le topic..
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Kasits
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Kasits


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MessageSujet: Re: Pour ma kultur'   Pour ma kultur' EmptyMer 19 Nov 2008 - 23:23

Allez je frime une dernière fois:

Gobbo le Rouge

Gobbo le Rouge est le célèbre individu à la tête du Komité et, en tant que tel, la figure de proue du Mouvement Révolutionnaire tout entier. Même si Gobbo le Rouge se consacre entièrement à la Révolution, il n’est pas rare de le voir faire une partie du sale boulot lui-même.

Même si le titre de Gobbo le Rouge peut changer de mains, les symboles en sont le fidèle Automatik’ Kustom et le sceptre Matrak’ du pouvoir que tous les Gobbo le Rouge successifs ont portés depuis la fondation du Comité Révolutionnaire Gretchin. Ces objets sont supposés avoir été arrachés des mains pleines de sang des oppresseurs orks lors du Massacre du Jour de la Grève et sont depuis des reliques vénérées. Cela signifie que tout le monde le reconnaît pour ce qu’il est : le seul vrai chef !

Et sur les grots révo on trouve:

Bout d’Trass est un nom lourd de sens pour un ork. Pour certains, c’est un royaume inconnu, promesse d’aventures et de combats, pour d’autres il symbolise une menace à ne pas négliger. Bout d’Trass abrite les hors castes, les renégats et les “zarbis” que même les rudes coutumes de la société ork ne peuvent tolérer. C’est là que ceux qui ont causé du tort aux mékanos finissent (s’ils ont pu échapper aux arènes). Ici vivent les mékanos et les médikos qui ont poussé leurs expériences un peu trop loin, méritant ainsi le titre de Débil’, bannis pour toujours de Mékavil de crainte qu’ils ne fassent sauter la ville avec leurs armes incontrôlables ou ne tuent toute la population avec un bacille virulent créé dans leur kabinet. Mais les principaux résidents parmi les parias de Bout d’Trass sont les grots du Comité Révolutionnaire.


Le CRG

Le Comité Révolutionnaire Gretchin est une organisation de grots dissidents. Depuis très, très longtemps, des générations d’orks ont été la cible de leur guérilla acharnée, pleine de haine et de colère. Depuis que les mékanos ont introduit le système des médaillons pour Gorkamorka (qui consiste, lors du départ vers la grande waaagh, à ne laisser monter à bord que les individus pourvus de médaillons), des voix se sont élevées pour dénoncer ce système injuste. La raison d’être du Comité Révolutionnaire Gretchin est simple : les grots n’ont pas le droit aux médaillons!

Qu’ils se tuent au travail pour les orks ou qu’ils risquent leurs vies pour eux au combat, les grots ne gagneront jamais de médaillons pour être emmenés vers la waaagh lors du grand départ. Il est donc compréhensible que cela semble extrêmement injuste aux grots. Dès le moment où les médaillons furent mis en circulation, des agitateurs apparurent pour mettre en doute la sagesse des mékanos, crier leur désapprobation aux coins des rues et dans le bazar. Ces fauteurs de trouble furent rapidement neutralisés, mais trop tard. La nouvelle s’était répandue et, bientôt, tous les grots de Mékavil furent au courant du système que les mékanos tentaient de garder secret.


Les grots de révoltent!

Alors que la nouvelle de l’injustice flagrante et cruelle des mékanos se répandait, des murmures de mécontentement commencèrent à se faire entendre. Les mékanos se réveillaient le matin pour trouver “Des médaillons pour le peup’ !“, “On est tous verts !“, et “Mékano Facho !“ griffonnés sur les murs de leurs ateliers. Les mékanos et leurs gorilles firent de leur mieux pour se débarrasser des mécontents et de nombreux grots furent emmenés dans les arènes pour ne jamais en ressortir. Plutôt que de calmer les esprits, cela ne fit que jeter de l’huile sur le feu allumé par l’oppression des orks. Chaque répression contre les grots provoquait deux fois plus d’incidents le lendemain. La première grande action de la révolution fut La Grève.

Personne ne sait comment le mot fut passé parmi l’étendue des bâtiments et les myriades d’allées de Mékavil, mais, un jour, les orks sortirent de leurs lits grossiers pour découvrir que les grots avaient cessé de travailler. Les fourneaux étaient éteints, les étalages du bazar n’étaient pas montés, les armes n’étaient pas astiquées, les rues étaient pleines d’ordures et les moteurs et les forges des mékanos étaient silencieux et froids. Il n’y avait aucun grot en vue. Pas un seul! Alors que les orks se rassemblaient, tout étonnés, autour des pieds de Gorkamorka, le son distant d’un chant haut perché leur parvint, porté par le vent du désert.


La marche pour la liberté

Par centaines, les grots marchaient dans la rue principale de Mékavil. Au-dessus de la foule se dressaient des bannières miteuses portant des slogans révolutionnaires:
“Debout, grots de Mékavil !“, “Stop aux médaillons !“ et “La waaagh pour tous !“. Alors que la manifestation s’approchait d’eux, les orks purent saisirent les paroles du chant bizarre: “Kesk’on veut ? DES MEDAILLONS ! Kan on les veut? MAINT’NANT! Kesk’on veut? DES MEDAILLONS! Kan on les veut? MAINT’NANT !“. Le bruit des petits pieds résonnait dans le silence de Mékavil tandis que les grots continuaient à avancer.

La marche des grots s’arrêta juste devant les orks rassemblés autour de Gorkamorka et un petit groupe de meneurs s’approcha en portant leur bannière “La Waaagh pour tous”. Les mékanos les plus respectés et les plus importants s’avancèrent pour les rencontrer. Après quelques minutes de discussion, durant lesquelles le ton monta considérablement des deux côtés, les mékanos s’éloignèrent pour délibérer. Ils discutèrent entre eux toute la matinée, pendant laquelle les soleils montèrent et montèrent jusqu’à ce qu’il soit presque midi. Enfin, la bande de mékanos mit fin à son conciliabule et revint vers les représentants grots d’un air déterminé. Sans sommation, les orks attaquèrent leurs petits cousins, les rouant de coups de poings et de crosses avant de leur enterrer la tête à coup de pieds ! La hampe de la bannière fut brisée sur un genou et le flamboyant drapeau de la révolution fut jeté dans la poussière, piétiné et souillé de crachats.


Les rue deviennent vertes

Un hurlement de rage se répercuta dans tout Mékavil et la foule des gretchins, enragée par cet assaut sans raison, bondit en avant. Avant que les mékanos ne réalisent le danger, ils furent submergés par la masse et disparurent. La charge des grots les amena au contact avec le gros des orks. Pris au dépourvu par cet outrage, les orks furent d’abord repoussés tandis que les grots tentaient de prendre Gorkamorka d’assaut et de monter à bord. Cependant, la surprise initiale des orks se transforma en colère, et ils contre attaquèrent : dégainant masses et kikoup’, ils chargèrent les grots en une mêlée indescriptible.

Les orks, bien plus forts, firent un carnage, mais les grots étaient enragés et bénéficiaient de l’avantage de leur vaste nombre. Malgré de nombreuses pertes, les gretchins avaient le dessus sur les orks débordés. Personne ne sait qui tira le premier, mais bientôt, les orks mitraillaient les grots avec leurs fling’ et leurs kanons. Des rangées d’esclaves périrent lors de la première salve inattendue, maculant de sang les rues de Mékavil. Les grots se dispersèrent. Certains se lancèrent sur les orks, volant leurs armes pour les retourner contre eux, tandis que les autres fuyaient pour sauver leur vie.

Mékavil fut agitée d’une série de combats sporadiques. Des bandes de grots attendaient dans les gargotes et les allées pour tendre des embuscades aux orks qui cherchaient les révolutionnaires. Quand aux orks, ils organisèrent une battue à travers les ateliers et les échoppes, abattant tous les grots qu’ils trouvaient. Les combats continuèrent tout l’après-midi. Malgré leur bravoure, les grots ne pouvaient pas gagner face aux orks mieux équipés, et ils furent bientôt des centaines à se rendre. A la tombée de la nuit, la paix revint, et ceux qui n’avaient pas abandonné le combat s’esquivèrent dans les ténèbres, pillant et brûlant ce qu’ils purent avant de partir.


La Longue Marche

Tandis que les gretchins qui s’étaient rendus retournaient à leur vie de corvées sous les coups, les durs à cuire qui avaient fui Mékavil faisaient route vers Bout d’Trass. Ce fut un voyage difficile pour la colonne d’esclaves rebelles, qui endura une marche pénible sur les centaines de kilomètres de long de la Trass’. A court de nourriture et d’eau, de nombreux rebelles moururent et leurs dépouilles furent abandonnées là où ils étaient tombés par leurs camarades, eux-mêmes trop fatigués pour penser à autre chose que mettre un pied devant l’autre. Jour après jour, le soleil brûlant prélevant un terrible tribut, les grots marchaient vers Bout d’Trass. La nuit, ils s’abritaient là où ils le pouvaient, blottis les uns contre les autres dans les forts en ruine des générations passées. Plus le groupe s’éloignait de Mékavil, plus la nuit recelait d’autres terreurs que le froid glacial. Des formes luisantes apparaissaient au loin, indistinctes, mais émettant une aura d’antique malveillance et d’indicible peur.

La journée n’était pas mieux, les scorpions fouets jaillissaient de leurs cachettes obscures pour paralyser les traînards avant de les traîner dans leurs tanières pour les dévorer. Les grandes mâchoires des gloutons des sables s’ouvraient sous les marcheurs, certains si gros qu’ils avalaient tout un groupe de rebelles d’un seul horrible claquement de mandibules. Les charognards tournaient au-dessus de la colonne, attendant qu’elle s’éloigne pour descendre picorer les morts. A cette adversité, et à quelques batailles sauvages contre des bandes d’orks en maraude, ne survécut qu’un tiers des dissidents originaux. Des semaines après leur départ, les survivants arrivèrent en vue des murs rouillés et percés et des poutrelles tordues de Bout d’Trass.

Occuper Bout d’Trass ne fut pas non plus une mince affaire. Les gretchins durent combattre les hors castes qui se terraient déjà dans ses sombres couloirs et ses vastes salles. Ils durent chasser de nombreuses bêtes qui s’y étaient installées, et plus d’un de ceux qui avaient atteint la terre promise mourut en explorant le labyrinthe métallique certains disparurent simplement, d’autres furent tués par des orks renégats tandis que d’autres encore entrèrent dans des zones pleines de gaz toxiques ou libérèrent des flots d’acides qui inondèrent les corridors, réduisant ceux qu’ils touchaient à l’état de squelettes. Malgré tout, pas un seul des rebelles ne songea à retourner à Mékavil pour y implorer le pardon.

La haine dévorait le coeur des révolutionnaires et ils firent voeu de se venger des tourments et des épreuves qu’ils avaient endurés. Au début, des groupes épars se contentèrent d’attaquer les orks qui s’aventuraient à proximité de Bout d’Trass, puis les plus braves se mirent à organiser des raids. Le temps aidant, les choses s’organisèrent et à présent, tous ont oublié quand fut créé le premier Comité
Révolutionnaire Gretchin.


La lutte continue

Depuis Bout d’Trass, les rebelles lancèrent des raids sur les bandes d’orks retournant à Mékavil et prirent des forts mal défendus pour voler des débris et répandre l’anarchie. Durant les siècles qui suivirent, Mékavil fut une source constante de nouvelles recrues pour les révolutionnaires. Malgré la mort des combattants originaux, la cause vit toujours et la volonté de faire payer aux orks le Massacre du Jour de la Grève reste plus forte que jamais.

Le Comité Révolutionnaire Gretchin tente de gagner des appuis à Mékavil, en attendant le jour du prochain soulèvement : cette fois, ils seront prêts et armés ! A l’aide d’un réseau d’informateurs, de conspirateurs et de collaborateurs, le Comité Révolutionnaire Gretchin fomente des rébellions dès qu’il le peut. Il gère une organisation secrète de passeurs pour permettre aux grots qui veulent rejoindre la cause de quitter Mékavil. Il possède des agents au marché des esclaves qui préparent les grots à vendre pour le Grand Jour. Des bandes de révolutionnaires sillonnent la Trass’ à la recherche de grots et d’orks récemment éclos : tuant les orks avant qu’ils ne grossissent les rangs de l’ennemi et recueillant les jeunes grots pour les entraîner à servir la cause. Le CRG continue sa lutte farouche contre les mékanos, sabote leurs ateliers et de manière générale tente de les forcer à accepter leurs exigences.


Les partisans

Parmi les révolutionnaires gretchins, une faction, connue sous le nom de Partisans et rassemblant les plus extrémistes, rancuniers et antisociaux des révolutionnaires, est particulièrement radicale. Les Partisans ne reculeront devant rien pour assurer la victoire finale de la révolution, accomplissant des missions suicides à Mékavil et élaborant de grands plans comme l’empoisonnement de la bière de champignons des orks ou la création d’une arme suprême leur permettant d’attaquer Mékavil et de mettre les orks à genoux. Les Partisans sont composés de deux niveaux: les Rebelles Grots et le Komité.

Le Komité, composé de Gobbo le Rouge lui-même et de ses conseillers les plus fidèles, est le réel pouvoir derrière l’ensemble du Comité Révolutionnaire Gretchin. Gobbo le Rouge est le chef de la révolution et, pour la plupart des orks et des grots, il demeure un personnage obscur, auteur de tous les plans rusés et constamment en train de comploter contre les mékanos et leur système de médaillons. En réalité, Gobbo le Rouge n’est pas un individu mais plutôt une position au sein du Komité, comme un président. Le véritable Gobbo le Rouge est élu quand il le faut parmi les membres du Komité et c’est lui qui dicte la conduite du Comité Révolutionnaire Gretchin.

Le Komité contrôle les agissements des Rebelles Grots. Les Rebelles Grots sont à la fois les saboteurs, les activistes, les agitateurs, les commandos et les relations publiques du Comité Révolutionnaire Gretchin. C’est le Komité qui dirige les attaques des Rebelles Grots et qui désigne leurs cibles. C’est encore lui qui redistribue les débris et l’équipement ramené par les Rebelles Grots.

On a parfois vu le Komité perdre de vue son véritable combat et en être détourné par sa propre politique interne. Lorsque le titre de Gobbo le Rouge change de mains, il n’est pas rare que les tactiques des Grots Rebelles changent également alors qu’une autre école de pensée prend les rênes du pouvoir. Il y a souvent des dissensions au sein même du Komité et les Rebelles Grots qui combattent pour la cause à l’extérieur ne rentrent parfois que pour se rendre compte qu’ils ont fait plus de mal que de bien. C’est parfois difficile d’être au service du Komité et de ses membres capricieux, mais il n’existe pas de plus belle vie quand on cherche une bonne excuse pour casser de l’ork.


Retour aux sources

Les guerriers du Comité Révolutionnaire Gretchin ont juré de combattre les orks par tous les moyens possibles. Malheureusement, ces moyens sont souvent très, très limités. Sans ateliers de mékanos pour leur fournir des armes et des munitions, les grots rebelles en sont réduits à utiliser les armes qu’ils parviennent à bricoler ou à voler. Leurs véhicules sont aussi des créations maison et, la mékanik interne d’un moteur à essence demeurant un mystère total pour le plus expérimenté des assistants de mékano, leurs moyens de propulsion sont radicalement différents de ceux des engins orks. En dépit de ces désavantages, les grots ont un certain nombre d’éléments en leur faveur. Tout d’abord, les recrues ne manquent jamais et une bande de grots rebelles peut submerger ses ennemis sous le nombre. Ensuite, les rebelles grots sont des fanatiques de la révolution et prendront souvent des risques insensés afin de porter un coup pour la cause. Enfin, et c’est le plus important pour les grots, leur cause est juste.


(Source : Digganob)
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Kasits
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MessageSujet: Re: Pour ma kultur'   Pour ma kultur' EmptyMer 19 Nov 2008 - 23:37

Tout ça est compilé sur résu 40k...forum de fluff V3+ (excellent en complément de taran vu que les deux couvre tout 40K)


Pour les persos spé old school il manque le dresseur grot (j'ai la fig mais plus le nom qui se trouvait dans le dex V2...faudrait que je le retrouve lui.

Pour la vie quotidienne, il y avait eu un article dans un dwarf sur les orks spécialiste et décrivait leur vie quotidienne à eux et donnait ainsi une idée de celle des orks/grots...En gros une société tribale violente ou la loi du plus fort domine, pour comparer je pense aux tribu afriquaine avec un degré de violence plus élevé.


Pas besoin de dire merci je ne suis plus
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Zulzeg
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MessageSujet: Re: Pour ma kultur'   Pour ma kultur' EmptyJeu 20 Nov 2008 - 0:30

Ah, enfin j'ai l'histoire!
Petit points : Depuis le jour où je les ais vus je sais que la société orks dommine par la violence( bien plus grande que celle des pires des hommes, elle doit vraiment être térrifiante, miam.), je n'ais jamais su quel était l'aspect de leur ville : Avec des immeuble et des batisses? Des bidonvilles? des batiments avec des formes bien à eux?
Car tu site Mékavil mais je me demande elle ressemble à quoi( il y a juste cette imformation que je voudrais connaître sur ce poste, le reste, j'y chercherais sur les sites que vous m'avez donné.)
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MessageSujet: Re: Pour ma kultur'   Pour ma kultur' EmptyJeu 20 Nov 2008 - 1:35

Euh pour mékavil c'est un bidonville genre les favelas au brésil, sinon en v2 c'était plus de la terre cuite façon azteque pour les habitats...merde j'avais dit je frimerais plus.
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MessageSujet: Re: Pour ma kultur'   Pour ma kultur' EmptyDim 30 Nov 2008 - 5:05

Le terme "hutte à boyz" donne une bonne idée de leur habitat. J'imagine les orks habiter à plusieurs par affinité. Surtout qu'ils sont tous plus ou moins monomaniaque.
Les kommandos, les kram-boyz, habite chacun à l'écart du camp, car soit ils sont craint et mépriser (les kommando) soit ils sont trop instable (les kram-boyz).
On dit souvent que les Ork sont oisifs. Ils trainent dans le camp toute la journée et picole pas mal, se battant à la moindre occasion. Les chasseurs sont aussi très important dans la société. Ce sont un peu les sages (!!!), les gardiens des traditions.
Autre chose, dans un camp, ils y a toujours plus de grots que d'orks, mais se qui sont en majorité, ce sont les snotlings. Des éspèces de vermine sans cervelle qui grouille de partout. Ils sont rossé, moqué, et même bouffé sans vergogne.

Sinon il y a le perso spé NAZDREG qui à disparut depuis le dernier CODEX. Le big Boss BADMOON qui aida Gahskull, et qui se bat toujours sur Armaggedon depuis le depart du prophete de la waaagh!
C'est lui qui fournit la technologie du "Tela-Tepula" à Gahskull.
Son profil à disparut car trop proche en termes de règles de celui du chef goff. D'ailleurs il etait toujours convertit à partir de la fig' de Ghaskull .
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